TG-1 * Transgallaxys Forum 1

Advanced search  

News:



We are Allaxys
We moved our news front to http://www.allaxys.com

The Forum 1 on Transgallaxys.com is only a backup archive!

Twin Update 8.5.2023


Warning to Amazon Data Services Singapore
Warning to Amazon Data Services Japan
Do stop your sabotage or you will be shot!

Pages: [1]

Author Topic: la dangereuse medecine nouvelle germanique  (Read 1900 times)

ama

  • Jr. Member
  • *
  • Posts: 1201
la dangereuse medecine nouvelle germanique
« on: February 16, 2010, 03:07:26 AM »

This was kept in our archives since February 2010. Today the original blog is gone. The reasons for its disappearance I do not know. Perhaps we can NOW establish a better connection with families of victims in France than we could in the past.

http://medecinedangereuse.unblog.fr/

[*QUOTE*]
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------
la dangereuse medecine nouvelle germanique
Pages

Categories




Archives




Calendrier
février 2010L    Ma    Me    J    V    S    D
1    2    3    4    5    6    7
8    9    10    11    12    13    14
15    16    17    18    19    20    21
22    23    24    25    26    27    28
« oct         

Commentaires récents
» Nathalie De Reuck dans Qu'en pensez vous ?
» cyril dans 16 juillet 2009
» Baudouin Labrique dans 16 juillet 2009
» Cindy dans 16 juillet 2009
» Stéphane dans 16 juillet 2009

 
Visiteurs
Il y a 1 visiteurs en ligne
aidez moi 13 octobre

Classé sous Non classé par medecinedangereuse | 0 commentaires

Bonjour a tous,

Si vous êtes ici c'est probablement que vous êtes interessé par ce que j'ai a dire. Mon blog a beaucoup de textes qui sont long a lire mais s'il vous plait prenez le temps de les lires, c'est important ce sont des textes qui vont peut etre en choquer certain, et peut etre qu'il va y en avoir d'autre qui seront d'accord avec cette ''médecine'', mais ca je m'en fou chacun a ses opinions, moi tout ce que je veux c'est dénoncer ce qui est arrivé a mon père et a notre famille. Car cela me permet de me libérer. Je remercie enormement de monde de m'aider notament Nathalie de Reuck avec qui je communique depuis peu qui m'aide enormement, ainsi que tous mes amis et ma famille qui font circuler ce site pour que tout le monde soit au courant ! Alors continuons a envoyer ce blog a tout le monde. Si vous avez des questions des commentaires n'hesitez pas a les laisser sur le site, sinon vous pouvez aussi m'écrire sur : marionpiat@msn.com  Merci a tous d'être la.


16 juillet 2009 13 octobre

Classé sous Non classé par medecinedangereuse | 6 commentaires

''Et voila… c'est fini.. tu es aller rejoindre les nuages.. Tu nous a quitté. Ils t'ont eu,  ils t'ont enlevé a nous. ''

Ca fait longtemps que je n'ai pas écris sur mon blog, parce que il fallait que je me remette de tout ca. Pour tous ceux qui lisaient ce blog sachez que mon père est décédé. Après de terribles souffrances, il est parti rejoindre un monde meilleur. Mais mon combat n'est pas fini je compte toujours dénoncer et faire écrouler cette médecine nouvelle germanique mais je me sens un peu toute seule face à tout ce monde qui ignore encore ce qu'est la MNG et combien elle est dangereuse.. Apres le déces de mon papa j'ai écrit au thérapeute et à sa femme, juste une phrase… '' Et voila… vous avez gagné mon père est parti. '' et voila la réponse que j'ai eu une semaine après… :


Chère Marion,

Je m'apprêtais à vous écrire, jeudi dernier, pour vous offrir ainsi qu'à votre famille mes sympathies pour le départ de votre père, mais ma lettre à peine commencée, il s'est présenté à moi, dans son corps astral, visiblement troublé, et ce n'est qu'aujourd'hui que le calme est revenu. Ainsi, je lui ai consacré mon temps et mes énergies en priorité au cours des derniers jours, jusqu'à ce qu'il se calme et me semble plus serein et moins exigeant quant à ses demandes, qui au départ indiquaient qu'il n'était pas tout à fait conscient de ne plus être sur notre plan (physique).

Au départ, en réaction à votre lettre, même s’il comprenait que vous l’aviez écrite à François dans un moment de grande souffrance et de désarroi après l’avoir vu et avoir compris qu’il partirait sous peu (il demande si vous avez vu la lumière dans ses yeux et sa sérénité, car c’est ce qu’il aurait voulu vous communiquer), il ne cessait de me fournir des arguments et des preuves pour sa propre défense et pour incriminer votre mère et sa sœur cadette, qu'il estimait responsables de la détérioration de son état tout comme de votre propre état d’esprit. Selon lui, elles auraient abusé de leur pouvoir et tenter de le contrôler, de le soumettre à leurs idées, de l'invalider dans ses choix, de nier ses besoins et ses demandes pour lui imposer leurs vues en toute ignorance de cause, allant jusqu’à suggérer qu’il était dans une secte !  Au moment où il était incapable de se déplacer, prisonnier de son lit, votre mère a refusé de l’aider.

Il voulait partir et s'est senti coincé, retenu contre son gré par des manipulations psychologiques et des concessions, obtenues après de longues discussions qui l’épuisaient. Il a été obligé de faire appel à des ressources extérieures pour l'aider à sortir de “sa prison”. Selon lui, la résolution de son conflit le plus important, le stress qu'il a traîné pendant des mois, seul, sans soutien, confronté à la négation de ses choix, dont celui de s'éloigner de votre mère, a déterminé la prolongation de ses souffrances, surtout morales, a causé sa mort physique, malgré le calme et la sérénité profondément ressentis lors des jours précédant son détachement. Il voulait partir depuis un an !

Il a compris l'impossibilité de me présenter devant les tribunaux humains avec un témoin soi-disant “mort” à mes côtés. Il a fait valoir que les personnes au courant de sa situation depuis 2007, des pressions et du contrôle psychologique exercé sur lui, à l'extérieur de son clan familial, étaient suffisamment nombreuses pour les témoignages en sa faveur par des vivants. Il a fallu que je lui fasse entendre raison.

Je vous épargne les détails, mais je vous prie de croire qu'en deux jours, il sera passé de la rage à la compréhension et à la compassion envers votre mère, sa soeur et son père, les entités qui, à ses yeux, ont été les plus incapables de répondre à ses besoins profonds, notamment être aimé, respecté et accepté pour ce qu'il est, et soutenu dans ses choix et ses projets personnels. Tout cela lui a causé une profonde impuissance et une négation de lui pour faire plaisir à autrui. Il a cessé de juger et pris conscience de sa responsabilité envers lui-même.

Quand vous abandonnez vos rêves pour vous conformer aux attentes des autres ou à l’inverse, quand vous les réalisez, mais ne recevez ni soutien ni approbation, quand vous avez des attentes irréalistes envers des personnes qui ne peuvent vous soutenir, ne comprennent ni les nouvelles lois biologiques irréfutables, ni la science, ni votre démarche et ont peine à communiquer leurs sentiments, car cela n'est pas dans leur nature ou ne correspond pas à leurs valeurs et à leur éducation, et quand vous remettez votre pouvoir entre les mains des autres, au lieu de le rapatrier, vous ne pouvez vous offrir ensuite le luxe de leur en vouloir ou de les tenir responsables de votre malheur et, éventuellement, de votre mort physique.   

Il frappait à des portes fermées, s'entêtait, se désolait qu'elles ne s'ouvrent pas, restait là, même s'il était malheureux comme la pierre, subissait des situations qui ne convenaient pas à sa conscience et ses valeurs propres, par devoir familial.

Quand il a compris que sa rigidité, son abnégation et son impuissance à ce niveau avait de telles répercussions sur son corps physique et qu'il ne guérirait pas, il a décidé, mais un peu tard, après en avoir parlé pendant plus d'un an, d'aller ailleurs, avec l’intention de se remettre sur pied, de se séparer de votre mère, de réaliser son projet de s'installer dans le nord du Québec et de travailler là.   

Il ne voulait abandonner personne, mais ce faisant, il s'est abandonné lui-même.

Au début, il était furieux qu'entre sa vision et celle de votre mère ou encore de votre tante, vous ayez choisi la plus injuste de toutes et la moins vraie. Il déplorait que votre esprit soit manipulé au point que vous nous traitiez d'assassins, alors qu'il nous considère, comme d'autres de ses amis avec lesquels il a enfin pu pour la première fois de sa vie s'ouvrir, parler de ses blessures, communiquer ses ressentis, se sentir aimé et accepté, sans jugement, sans confrontation, comme ceux l'ayant le plus soutenu et fait évolué en conscience au cours des derniers mois. Il a bel et bien guéri de son cancer de la prostate, alors qu’il était condamné.    On attendait des miracles de François, alors que la guérison d’un cancer osseux (impuissance) ne dépend que de la personne et de son entourage, des décisions cruciales à prendre, de changements pour se sortir de cette impuissance. Or, son impuissance grandissait sans cesse face aux perceptions, aux paroles et aux pressions de son entourage sur ses choix. Sans support face à son choix de cheminement thérapeutique, ses efforts étaient voués à l’échec.   


Il a fait des pas de géant, libéré des blessures de longue date et compris le sens de son cheminement terrestre et de ses expériences. Il en tire une légitime fierté. Il a appris ce qu'il avait à apprendre et grandi. Sa famille de sang aura été un merveilleux laboratoire d'expériences humaines et il est prêt à rejoindre sa famille d'âmes.

Cependant, il me demande de vous confier qu'il ne sera pas tranquille tant et aussi longtemps que votre mère continuera d'imposer ses vues, d’interpréter et de nier ses dernières volontés. Il dit qu'elle sait quelles sont les volontés auxquelles il réfère et qu'il n'a pas besoin de les préciser pour les lui avoir demandées vainement et à de multiples reprises avant son départ. C'est le seul message qu'il me demande de lui transmettre pour le moment. Il n'a plus aucune animosité envers elle, au contraire. Il comprend qu'elle a agit selon son niveau de conscience, ses peurs, ses insécurités, ses illusions et ses croyances.

Il vous souhaite de sortir de la programmation, de la peur, de la souffrance, du jugement et de la confrontation, pour retrouver la paix intérieure et d'apprendre surtout à communiquer efficacement et posément vos ressentis. Vous n'avez pas grandi ni évolué dans un environnement propice à ces apprentissages et lui n'aura ouvert cette porte sur la confiance et l'amour de soi que tardivement. Il n'aura pas pu vous apprendre ni partager avec vous ses dernières découvertes.    Il regrette les confrontations qu'il a eues avec vous du temps où il ne savait pas exprimer ce qu'il ressentait au plus profond de son cœur, tout autant que ses silences. Il ne savait pas comment exprimer son amour et sa sollicitude et il manifestait une colère et une impuissance conséquentes, une colère envers lui-même, s'estimant peu doué pour faire passer ses messages, surtout quand il s'en faisait pour vous, envers son père, etc. Il avait l’air de vouloir imposer ses idées. Ses engueulades le brisaient en dedans, mais il n’avait pas d’autres moyens de s’exprimer. Il aurait voulu vous transmettre le meilleur de lui, mais cela était étouffé en lui par des barrières et des convenances. Il avait sa vision de ce qu'est un père, un guide attentionné pour ses enfants, ouvert et compréhensif, mais tout cela était étouffé par son éducation. Et les sentiments vrais ainsi retenus en lui que ses mots ne traduisaient pas n’ont pas été exprimés comme il l’aurait souhaité. Il dit : ce n'était pas moi, mais ce qu'on a voulu que je devienne ou ce qu'on a dit que j'étais. En fait, je ne savais pas qui j'étais et… j'étais plus dans les apparences, les convenances et l'avoir que dans l'être. Je me conformais et je manquais de flexibilité. Je ne m'exprimais pas, j'exprimais l'extérieur. Tout restait pris à l'intérieur. Je ne savais pas communiquer efficacement et quand j'ai commencé à le faire, ça n'a pas été avec les gens les plus proches de moi, mais avec des étrangers. J'ai versé dans un “extrême”, j'en suis désormais conscient, car j'ai exigé de ces personnes des heures et des heures d'écoute. Mais il avait besoin de ventiler, de libérer, de transcender, de comprendre, de se comprendre…   Il comprend que pour les membres de sa famille, cette ouverture vers l'extérieur a été blessante et que ces personnes bienveillantes ont par sa faute été perçues comme des “ennemies” le détournant de sa famille, alors qu'elles ne faisaient que l'écouter et l'aider à se défaire de ses propres chaînes, à suivre son coeur, sa voie, à faire ses propres choix, tout ce qui, finalement, l'empêchait de communiquer avec vous. Mais il dit aussi que lorsqu'il a tenté de le faire, il n'a pas reçu l'écoute qu’il aurait aimé recevoir, on a pas voulu qu'il change ni que les choses changent. On aurait voulu continuer comme avant, ne rien déranger, ne rien remettre en question, ce qui est contraire à l'évolution.   



Quand nous sommes allés chez vous, François et moi, vous n’avez posé aucune question, vous ne sembliez pas intéressée par sa démarche. Je me demande même si vous l’écoutiez, puisque vous vous étiez installée à votre ordinateur, plutôt que de communiquer. J’avait dit à François en sortant : « Alain est bien seul, même s’il est entouré. On dirait que chacun est dans sa bulle. C’est peut-être pour ça qu’il dit qu’il n’a pas le soutien de ses proches. Généralement, on est vivement intéressé, on nous pose plein de questions. »

Qui a raison, qui a tort, qui est coupable et qui détient la vérité, qu'est-ce qui est bien et qu'est-ce qui est mal ? Tout est neutre ou tout dépend du point de vue de chacun, de ses idées, de ses références, de son éducation, de sa conscience, de ses croyances, de ses valeurs, etc.  Ce sont toujours des jugements, iniques et subjectifs, sur soi et sur les autres. Chacun est sur sa voie incomparable, chacun apprend et avance à son rythme, chacun est à sa place… Il a enfin compris une grande vérité : on ne change pas les autres, on se change soi. On est pas responsable de l'état des autres, de leur bonheur ou de leur malheur, mais de son propre état. On ne peut finalement que se juger soi-même. “Vivre et laisser vivre” résume bien son nouvel état de conscience. Ne pas attendre des autres, mais créer sa réalité. Il comprend qu'avec ses propres pensées, on crée son propre enfer ou son propre paradis et qu'il n'y a que deux voies possibles, en fait, qui sont la peur ou l'amour. François lui a dit un jour : “Alain, toute autre réponse que j'ai peur est un mensonge…”  Il conserve ces mots précieusement en son âme.

Il conclut en disant que tout ce qu’il ressent est de l’amour et de la gratitude pour vous tous, de le pardonner pour ce qu’il n’aura pas su ou pu vous livrer correctement, et que s'il tient à ce que votre mère honore ses dernières volontés, c'est bien plus pour elle et par amour pour elle qu'il le fait que pour lui, car elle se libérera ainsi d'un poids dont elle ne mesure peut-être pas la lourdeur sur son âme.

Je ne suis qu’une messagère. Je n’attends pas de réponse. Ce que vous ferez de cette communication vous regarde. Peut-être qu’un jour vous comprendrez le sens et la signification de cette communication ou ressentirez ce que votre père aura souhaité vous livrer à travers moi. Si jamais vous souhaitez me parler, vous n’avez qu’à me faire signe. Si vous préférez m’ignorer ou même me répondre d’aller me faire cuire un œuf, peu importe votre réaction, je l’accepterai en toute sérénité et vous conserverai mon affection. Si vous souhaitez un autre canal que moi pour communiquer avec Alain, allez selon votre intution.

  Prenez bien soin de vous et bonne continuation.    Amour, Lumière et Énergie   Louise-Marie




… 4 juillet

Classé sous Non classé par medecinedangereuse | 0 commentaires

Ca va de plus en plus mal… Papa est de plus en plus mechant et désagréable surtout avec maman. Je ne supporte plus ca.  Il souffre de plus en plus et supporte de moins en moins. Il a une plaie de lit aussi appelé escart, qui mesure 15 cm de diametre environ. Et le therapeute lui a dit de macher du plantin ( une mauvaise herbe ) et de l'appliquer sur la plaie… N'importe quoi !!!!!! C'est comme quand papa avait une phlebite et que le therapeute lui a dit de manger de l'ail !!! Mais comment peut on autant jouer avec la vie des gens… Je ne comprend pas. Plus les jours avancent et plus je deteste ce therapeute et je deteste cette medecine. Alors s'il vous plait continuez a envoyer mon blog a tous vos contacts et dénoncez cette médecine ! Merci a tous de me lire et de laisser autant de commentaires ca me fait beaucoup de bien.


introduction pour ceux et celle qui n’ont jamais entendu parler de la MNG (medecine nouvelle germanique) 17 juin

Classé sous Non classé, 1 par medecinedangereuse | 1 commentaire

L’approche s’oppose radicalement à la médecine classique plutôt que de travailler en complémentarité avec elle. De plus, elle prétend pouvoir régler TOUTES les maladies, et que celles-ci auraient TOUTES une seule et unique cause : un conflit psychologique non réglé. De telles prétentions peuvent facilement amener le rejet de toute autre forme de traitement, ce qui peut avoir de très graves conséquences. cette approche est basée sur la prémisse selon laquelle toutes les maladies, sans exception, sont causées par un conflit psychologique traumatisant impossible à gérer, un « surstress ». Chaque type de conflit ou d'émotion toucherait une zone précise du cerveau, au point d'y laisser une empreinte physiologique, ce qui toucherait automatiquement l'organe relié à cette zone.
Par conséquent, si l’on réussissait à résoudre le problème psychique en cause, cela ferait disparaître le message de maladie envoyé par le cerveau. Le corps pourrait alors revenir à la normalité, ce qui se traduirait automatiquement par une guérison. Selon cette théorie, il n'y aurait pas de maladies « incurables », seulement des malades temporairement incapables d'accéder à leurs facultés personnelles de guérison.
Voici des exemples de ressentis perçus comme impossibles à gérer (les invariants biologiques) ayant été à l’origine de quelques maladies, ainsi que des événements qui pourraient avoir déclenché ces ressentis. Cancer de l'utérus —–>Dévalorisation de ne pas pouvoir porter un enfant. exemple : Mort prématurée de son propre enfant  Cancer de la prostate —–> Problème en ce qui a trait aux petits-enfants. exemple : Les enfants ne veulent pas ou ne peuvent pas avoir eux-mêmes d'enfants.Cancer des os —–> Dévalorisation de soi. exemple :Être constamment diminué par un patron méprisant.Diabète —–> Résistance combinée à de la répugnance. exemple : Une femme ménopausée qui ne veut plus faire l'amour avec son mari et qui résiste à ses demandes.Sclérose en plaques —–> Dévalorisation consécutive à une chute verticale. exemple : Perte d’emploi à la suite d’une chute au travail 


Allergies —–> Séparation. exemple : Pour un enfant : séparation brutale à la naissance, déménagement précoce, départ du père, etc.

Infarctus du myocarde —–> Perte du territoire. exemple : Congédiement En gros, Tout maladie a sa cause psychologique et si on arrive a régler ce conflit alors on guerrit.

Autre chose.. Quand la douleur est la c'est le signe de la guerison !!! La prise de tout calmant nuit a la guerison ainsi que la chimiotherapie la radiotherapie et j'en passe… On donne donc au patient de la MNG des plantes pour seul soulagement.. oui oui vous avez bien entendu DES PLANTES….   




2 reportages de radio-canada denoncant la biologie totale aussi appellé medecine nouvelle germanique 17 juin

Classé sous Non classé par medecinedangereuse | 0 commentaires

http://www.radio-canada.ca/emissions/enquete/2008-2009/Reportage.asp?idDoc=65418 reportage numero 1

Biologie totale - Menace fatale

Une nouvelle approche thérapeutique se répand à grande vitesse au Québec sous différents noms: la nouvelle médecine, la biologie totale ou la bio-psycho-généalogie prétendent guérir toutes les maladies, y compris le SIDA ou les formes les plus avancées de cancer.

Nous avons identifié une trentaine de villes au Québec où l'on pratique cette approche. En Europe, ses instigateurs ont été poursuivis et parfois condamnés à la prison pour exercice illégal de la médecine.

Journaliste: Guy Gendron
Journalistes à la recherche: Chantal Cauchy et Brigitte Guibert
Réalisateur: Germain Thibault
Caméramans: Alfonse Mondello et Jean-Pierre Gandin
Preneur de son: Luc Delorme
Monteuse: Hélène Lamothe

http://www.radio-canada.ca/emissions/enquete/2008-2009/Reportage.asp?idDoc=65812 reportage numero 2

Biologie totale : menace fatale 2

Après avoir révélé l'étendue du phénomène de la biologie totale au Québec dans le domaine des « médecines douces », nous dévoilons maintenant la présence de cette approche dans le secteur de l'enseignement. Des instituts privés reconnus par le gouvernement, des cégeps et même des universités, répandent l'enseignement de cette théorie aux antipodes de la science médicale.

Journaliste : Guy Gendron
Journalistes à la recherche : Chantal Cauchy et Brigitte Guibert
Réalisateur : Germain Thibault
Caméramans : Alfonse Mondello et Jean-Pierre Gandin
Preneur de son : Luc Delorme
Monteuse : Hélène Lamothe

 

 


Pourquoi je connais si bien la MNG à l’age de 19 ans. 17 juin

Classé sous 2 par medecinedangereuse | 12 commentaires

En octobre 2008, mon père nous a dit avoir un cancer de la prostate qu'il n'a pas voulu confier au monde médical officiel. il a rencontré  un thérapeute spécialisé en MNG au Québec, où nous vivons depuis presque 7 ans. Le thérapeute lui a d'abord dit que son cancer de la prostate était de ma faute du à l'inquiètude qu'il avait du à la mauvaise relation amoureuse que j'avais avec mon ex. Je me suis au debut senti tres coupable et très mal de savoir que dans la tete a mon pere j'etais la cause de sa maladie mais finalement en avancant dans le cheminement avec mon pere j'ai decouvert a quel point cette ''medecine'' n'avait rien de vrai. Voila donc 1 an et demi que mon pere fait parti de la MNG. Le therapeute, dont je tairais le nom, a informé mon pere que si il faisait que se soit chimiotherapie, radiotherapie etc… il finirais par mourir. Mon pere a donc refusé toute sorte de medecine conventionel et  quand je dis toute sorte je parle de : suivi medical, medicament, traitement etc…  Il ne l'a effectivement jamais forcé a rejeté la medecine conventionel mais comprenez vous que quand une personne est malade c'est bien facile de detourné ses choix sans l'y forcé pour autant. Donc au debut de tout cela, tout avait l'air de bien se passer. Jusqu'a je dirais mai-juin 2008 ou l'etat de mon pere a commencer a se dégradé peu a peu. il se plaignait de maux de dos, de hanches, etait de plus en plus fatigué, il mangeait de moins en moins etait beaucoup moins actif qu'auparavent. Nous sommes allé rendre visite a la famille et aux amis en France notre pays natale, puis je voyais tres bien qu'il allait de moins en moins bien. Et c'est en septembre 2008 que tout a balancer. Un jour ou papa etait coucher il avait beaucoup de mal a respiré il faisait une crise d'angoisse du a la douleur trop vive. Nous l'avons donc emmener une premier fois a l'hopital ( une premiere fois en un an ) hospitalisé pendant 2 semaines avec examens et radio a passé. Les medecins découvrent que le cancer c'est propagé dans les os. Papa rentre a la maison apres 2 semaines d'hospitalisation et ne veux toujours rien savoir de la medecine conventionel il continu a appeller le therapeute assez souvent. Ce therapeute qui lui donne des pillules a base d'herbe, des huiles essentiel a mettre sous la langue qu'il fabrique lui meme. puis plus les semaines avance plus ca s'aggrave au debut il restait coucher le plus souvent possible mais arrivait quand meme a se lever pour aller fumer une cigarette, pour se promener un peu dans la maison pour se faire un café etc… puis de plus en plus il lui etait impossible de se lever, un jour pris de panique de ne plus pouvoir marcher ni bouger nous avons appeller une ambulance sans lui donner le choix. Il a été rehospitalisé pendant deux semaines mais comme il refusait toute medication et tous traitements les medecins l'ont renvoyé a la maison. Puis depuis sa santé ne fait que descendre… Il ne se leve plus du tout, il fait ses besoins dans une couche ou dans un pot a coté du lit. Il ne mange casiment plus meme si on le force, il devient tres desagreable, il a de temps en temps des pertes de memoires, des maux de tetes si intense qu'il faut y mettre de la glace, et surtout des douleurs aux os plus fort que jamais. Mais c'est normal a dit le therapeute ! '' Tu guerris '' courage c'est bientot fini ( ca fait 1 an qu'il dit ca ). De plus le therapeute monte mon pere contre toute sa famille, nous y compris. Il a fait savoir a mon pere que si il s'eloignait de nous il reussirai mieux a guerrir car comme nous ne croyons pas en cette medecine nous sommes nefaste a son fonctionnement. Et puis comme ma mere et moi sommes la cause de sa maladie a ce qu'il dit alors il faut s'eloigner du conflit voila pourquoi mon pere est souvent tres desagreable avec nous parce que nous ne faisons pas parti de pardonnez le therme de cette SECTE donc pour lui on ne le soutient pas a travers sa maladie.


échange de mail entre la petite soeur de mon pere et le therapeute ( ****= nom de mon pere ) 17 juin

Classé sous 3 par medecinedangereuse | 1 commentaire

Bonjour Monsieur,   

Je me présente : je suis la soeur d'**** qui est votre patient. Je suis très inquiète quand à son état de santé, et c'est à ce titre que je vous contacte. Habitant en France, je suis de loin la progression de sa maladie …… Je constate que son état s'aggrave inexorablement et ses douleurs qui se propagent et qui s'intensifient ne le quittent plus : je suis bouleversée.  Je ne sais que faire pour l'aider …… Pouvez vous me rassurer ? Il me dit que ses douleurs le mènent à la guérison. J'aimerais tellement le croire !  Les anti-douleurs qu'il prend ne le soulagent plus, même en augmentant les doses à outrance ! N'existe-t-il pas un remède plus efficace ? Il peut à peine marcher et le moindre mouvement lui arrache des cris….Dans l'attente de vous lire …….

(petite soeur de mon pere)

Bonjour Madame,

J'ai tardé à vous répondre car j'étais absent pour faire des consultations dans une autre ville. Le cas d'**** est fréquent chez les personnes ayant des réparations osseuses. Il faut bien comprendre qu'il a accumulé des destructions osseuses, qu'on appelle nécroses (ce n'est en fait que de l'ostéoporose) depuis fort longtemps, probablement depuis l'enfance. Le choc biologique qui leur correspond est une profonde impuissance et chaque os du corps possède sa thématique de choc qui lui est propre. Par exemple, la hanche correspond à une situation que nous ne pouvons plus tolérer, les vertèbres du bas du dos (lombaires) correspondent à un manque de support, celles du dos correspondent à de la soumission par rapport à nos proches, etc. Ces destructions sont toujours indolores et passent inaperçues t Lorsque les chocs sont résolus, les trous se remplissent d'un tissu de réparation. Tous nos os sont recouverts d'une mince peau qu'on appelle le périoste. Lorsque les trous dans les os se remplissent, cela crée un gonflement qui étire le périoste. Puisque celui-ci est très sensible, une forte douleur survient. Mais celle-ci n'est causée que par l'étirement du périoste, rien de plus. Une fois la réparation complétée, la douleur cessera. Le hic dans tout cela c'est que si les chocs sont de longue date, la réparation et la douleur seront d'autant plus intenses ! Notre cerveau est toujours préoccupé par notre survie mais il n'est pas préoccupé par la qualité de notre survie. Il se fout royalement, en tant qu'ordinateur central du corps, qu'on ait de la douleur ou non, car il a un job bien précis à faire lorsque nous plongeons en réparation suite à la résolution d'un choc.Toute situation qui apporte un stress additionnel (souvent de l'impuissance) lors de la réparation ralentira celle-ci et elle se prolongera. **** vit encore des impuissances et il n'a pas pris certaines actions concrètes pour gérer ces stress. Nous les avions identifiées clairement et il devait prendre action, ce qu'il n'a sans doute pas fait. Mais c'est son choix et je le respecte. Je ne peux pas prendre les décisions qui s'imposent à sa place car lui seul sait ce dont il a besoin au plus profond de son âme.Face à ces douleurs osseuses qui sont les plus intenses qui soit en médecine, on suggère aux gens de prendre de la morphine. Le hic avec cette morphine, c'est qu'elle enlève toute conscience de soi, de même qu'elle stoppe les fonctions vitales jusqu'au jour où la personne ne peut plus digérer ni respirer. TOUS les membres de ma famille, mes amis et clients qui ont pris de la morphine sont décédés, SANS EXCEPTION ! Oui, la douleur était soulagée, mais à quel prix ! Mais il ne faut pas oublier une chose importante. Toute douleur est fortement subjective et parfois, on reste avec car elle nous sert. **** a besoin de support dans le choix qu'il a pris, dans sa démarche, et je ne sais pas s'il l'obtient vraiment. Lui seul le sait. S'il ne me dit pas tout, je ne peux me faire une idée claire. J'ai toujours mentionné à **** qu'il est le maître à bord et que ses décisions lui appartiennent. Je ne lui ai jamais dit « Ne fais pas ceci ou ne fais pas cela ou fais ceci ». Je n'ai pas le droit en tant que thérapeute de me prononcer sur un traitement ou toute approche quels qu'il soient. Tout ce que je fais est d'informer la personne sur les faits résultant de tel traitement. Sur les observations qu'on a faites. Et ce, afin qu'elle puisse prendre ses décisions en pleine conscience. Les bonnes décisions peuvent sauver une vie alors que les mauvaises peuvent nous tuer. L'inhibition d'action en période de surstress se caractérise de deux façons : Ne rien faire parce qu'on fige sur place ou faire une foule d'actions mais ce ne sont jamais les bonnes. Dans les deux cas, ce sera toujours de l'inhibition d'action. L'humain ne comprend pas la douleur et ce qu'elle représente. L'animal, oui. Malheureusement, nous associons douleur avec souffrance (exemple : le mal) et c'est faux ! C'est une vieille programmation judéo-chrétienne qui date du Moyen-Âge où l'on pensait que les personnes qui ont de la douleur sont possédées du démon. L'animal ne souffre pas, au sens où on comprend ce qu'est la souffrance en tant qu'humains. L'humain lui, souffre car il a des ressentis dans le « symbolique », il se projette, alors que l'animal n'a de ressentis que dans le réel. Lorsqu'on croit qu'un animal souffre à la manière de l'humain, nous faisons de la transposition de sentiments humains. Seuls les animaux domestiqués par l'humain semblent souffrir car nous voulons observer cela. En physique quantique, l'observé est influencé par l'observateur. Encore une fois, c'est une question de réalité individuelle. Si nous voulons observer de la souffrance, nous la verrons à coup sûr ! Nous transposons donc notre propre souffrance aux autres. Nous créons toujours notre propre réalité, que voulez-vous, c'est ainsi. Nous ne voyons que ce que nous voulons voir. Et le jour où nous voudrons voir autre chose, il se passera autre chose. À partir du moment où l'humain comprendra ce que représente vraiment la douleur, il ne souffrira plus. L'humain est le seul être vivant dans l'évolution qui n'a pas encore atteint son stade de perfectionnement, à l'opposé des animaux, des végétaux et des minéraux dans LEUR MILIEU NATUREL qui eux, sont parfaits car ils sont arrivés à la fin de leur évolution. L'humain est un être de transition et il sera dépassé ! Il y aura une autre race d'humains, plus conscients, et la souffrance ne fera pas partie de leur vie. Mais d'ici-là, nous devons assumer la responsabilité de ce qui nous arrive et de notre vécu, le tout dans un contexte évolutif. Je trouve déplorable que des gens souffrent, mais ceci leur appartient. Je ne peux pas enlever la souffrance de quelqu'un comme si on lui retirait un objet quelconque. Seule la personne qui souffre peut le faire elle-même. Si je reçois une personne qui me dit de l'aider à lui retirer sa souffrance à la manière d'un aspirateur, je lui dirai que seule elle peut le faire. Je peux lui donner toutes les plantes disponibles sur la planète, mais elles ne seront d'aucun effet tant et aussi longtemps qu'elle ne veut pas ce qu'elle a ou qu'elle veut ce qu'elle n'a pas, ce qui est à la base de la souffrance. Malgré que je sois athé, la déclaration biblique suivante est absolument vraie : « Aide-toi et le ciel t'aidera ». S'aider soi-même, c'est-à-dire prendre les décisions qui s'imposent dans notre vie, ce n'est pas se faire aider par les autres. Quant à moi, je ne sauve personne, car je me suis rendu compte assez rapidement que le sauveur devient toujours la victime de la victime. La victime qui ne veut pas changer sa vie s'accroche, elle siphonne. Tout ce que je peux faire, c'est de donner toute l'information qu'il m'est possible de donner afin que la persone fasse d'elle-même des choix éclairés. Donc, j'éclaire. Mais on ne peut pas demander à une lanterne de nous amener où nous voulons aller si nous ne la prenons pas dans nos mains et ne décidons pas d'avancer nous-même vers l'inconnu. Et l'inconnu, ça fait peur ! Contrairement à ce qu'on pense, il n'y a pas de secret. Il n'y a que des lois cosmiques inaliénables.

Cordialement,(therapeute)

Bonjour Monsieur, Je vous prie de m'excuser, mais j'ai tardé à vous répondre, car je reste perplexe…..  Vous dites que tous les gens que vous connaissez ayant pris de la morphine sont décédés ….. tous sans exception ……… Comment se fait-il que moi j'en connaisse……. et ils sont toujours là ? Bien vivants !!!!!! Ne faites pas de généralités !  Toutes vos explications ne m'ont apportées aucun réconfort et ne m'ont pas du tout rassurées. Tout ce que je souhaite de tout mon coeur c'est qu'*** ne vive pas ce “chemin de croix” pour rien et que ses atroces souffrances ne soient pas vaines car là, je pense que je serais très en colère. Cordialement. ( petite soeur de mon pere)

Bonjour Madame,
Si vous en connaissez, c'est votre réalité, pas la mienne. Quand je vous dis tous, sans exception, je ne ments pas. Pour ma conjointe, pour les membres de sa famille et ses amis, c'est la même chose. Partout où il y avait de la morphine, la mort s'en est suivie peu de temps après. Pour certains de mes clients qui on fait le choix d'en prendre, c'est la même chose. Ce n'est pas de la foutaise ce que je vous dit. Je le vois fréquemment. Sachez que je n'ai jamais encouragé ou découragé **** de faire quoi que ce soit. En tant que thérapeute, je n'ai pas le droit. Vous pouvez vérifier avec lui. Il a fait des choix et se sont ses choix. Avant qu'il prenne ses choix, il me consulte et je lui donne toujours une information éclairée et juste. Je ne cite que des faits, sans aucune subjectivité. Et les faits sont là ! Vous n'avez qu'à vérifier vous-même. Je n'influence jamais les choix d'****. Il n'a pas besoin qu'on questionne ses choix, il a besoin qu'on les respecte. Il me l'a dit lui-même. Il est tanné que les membres de sa famille lui tombent toujours dessus, qu'ils l'appellent pour lui parler de tout et de rien. Et ça aussi il me l'a dit lui-même. Vous pouvez vérifier avec lui. Je n'invente rien. Et le respect des choix, c'est à la base de l'amour inconditionnel.Si vous vous mettez en colère, regardez à l'intérieur de vous pour voir d'où vient cette colère. Pourquoi vous vous mettez en colère? Derrière toute “émotion” il y a un besoin qui n'est pas rencontré. Sachez que tout événement est neutre, même le décès d'un proche. Je le sais pour l'avoir vécu. J'ai perdu des proches à cause d'erreurs médicales stupides. Est-ce que je dois me fâcher contre le système médical ? Eh bien non. Car la colère entraîne la guerre et tant qu'il y aura de la guerre, nous perdrons tous. J'ai fait dix ans dans l'armée canadienne et je sais ce qu'est la guerre. Dans la guerre, il n'y a aucun gagnant. Jamais. Souvent, face au choix d'une personne de prendre de la morphine et qui décède, on dit “Ça c'est correct, car le système médical a fait son job”. Elle est morte, que voulez-vous. Et on ne questionne rien. On ne se demande pas pourquoi. On baisse les bras. Mais lorsque la personne prend une autre avenue différente par choix et qu'elle meure, on se met en colère parce qu'on dit qu'elle n'a pas fait le bon choix.  Sachez que la médecine conventionnelle NE SAIT PAS de quoi meurent les gens qui ont le cancer. Et c'est écrit noir sur blanc dans de nombreuses études. Je me permets de vous citer le livre de Jean-Luc Salomon, “Le tissu déchiré” qui est fort révélateur à ce sujet ! Le Dr Salomon est médecin et chercheur et a travaillé pendant plus de trente ans à l'institut de recherches scientifiques sur le cancer du CNRS à l'hôpital Villejuif à Paris. Il mentionne également au chapitre 15 de son livre que la cellule cancéreuse n'existe pas ! Je vous encourage aussi à lire la recherche de Marc Fréchet, psychologue à Villejuif également. Sa recherche a duré huit ans où il a suivi 604 patients atteints de cancers en phase terminale. Selon les choix de ces personnes, il a identifié deux groupes. Le groupe A constituait ceux qui décidaient de suivre les traitements conventionnels de la médecine, et le groupe B constituait ceux qui décidaient de ne pas suivre les traitements conventionnels, de rester chez eux et de faire les changements qui s'imposent dans leur vie. Après huit ans de suivi, ses conclusions furent étonnantes ! Dans le groupe A, le taux de survie était de 26% alors que dans le groupe B, il était de 85% ! La conclusion de son rapport produit en 1997 fut la suivante : “Je dirais que la plupart des personnes qui sont décédées sont mortes de peur, de fatigue biologique et d’isolement affectif à l’identique de celui par lequel elles étaient tombées malades.” En 2000, Marc Fréchet est décédé au volant de sa voiture dans des circonstances qui demeurent mystérieuses. Tiens, tiens … Lorsque le Dr Hamer a été emprisonné pour la première fois à Cologne, on a saisi dans son bureau 6 500 dossiers de patients atteints de cancers en phase terminale. Et l'avocat de la poursuite a été obligé d'admettre que sur les 6 500 patients atteints, 6 000 étaient toujours en vie et bien portants après cinq ans. Ceci représente un taux de survie de 92% ! Et ce, sans aucun traitement conventionnel. Du jamais vu en médecine. Et on ose le traiter de charlatan ! Je me permets aussi de vous citer le résultat d'une recherche publié dans le livre “L'armageddon médical” qui mentionne : “En 1973, il y eut en Israël une grève des médecins durant un mois, au cours duquel ils ne s’occupèrent que des cas d’urgence. Or, le taux de mortalité dans le pays chuta de 50 p. cent – la plus grosse baisse de mortalité depuis la grève précédente vingt ans auparavant !  À Bogota, en Colombie, les médecins furent absents du travail pendant 52 jours avec une baisse concomitante du taux de mortalité de 35 p. cent. Durant une grève à Los Angeles, il y eut une baisse de 18 p. cent du taux de mortalité, lequel revint à son niveau habituel à la fin de la grève.” Ce sont des faits ! Je n'invente rien. Je dis toujours aux gens “Doutez de tout, tout le temps. Même de la Médecine nouvelle du Dr Hamer” ! Mais avant de sauter à des conclusions gratuites, faites votre recherche que diable ! Évitez de sombrer dans la gratuité ! Sachez aussi que la troisième cause de décès aux États-Unis et au Canada provient de la prise de médicaments chimiques où la posologie est respectée ! Il y a plus de 300 000 individus qui en meurent chaque année. Et la médecine conventionnelle n'a rien à voir là-dedans ? Voyons donc ! Il faut arrêter de prendre les vessies pour des lanternes ! Vérifiez !  Non seulement la morphine fait-elle des ravages mais également la cortisone, les anti-dépresseurs et j'en passe ! Le corps humain ne reconnaît pas les messages des médicaments chimiques car ils sont synthétisés en laboratoire. Pour un survivant sur la morphine, il y en a des dizaines qui en meurent ! Et c'est aussi vrai pour d'autres médicaments. On publicise à outrance le nombre limité de survivants et on tait les légions de ceux qui en meurent. Et ça c'est de la réalité chère Madame, pas de la fiction. Et je ne peux pas, en tant qu'individu conscient, accepter cette malhonnêteté. Je dois le dire haut et fort car qui ne dit mot consent. Est-ce que je m'attire de nombreux alliés dans ce que je dis ? Eh bien non. Mais je me dois de dire la vérité. C'est une question de droiture. C'est une question d'honneur et de respect des autres. Je n'essaie pas de plaire, ni de programmer qui que ce soit. J'informe, c'est tout. Mais je m'assure toujours de donner une information exacte et juste. Une information qui a été vérifiée, et vérifiée, et vérifiée encore et encore. et non pas admise gratuitement sans discernement. Lors de ma prochaine conversation avec ****, je vais lui faire part de nos échanges par courriel car il est important qu'il le sache. Après tout, il est le principal intéressé ! Et nous verrons bien ce qu'il en pense. **** est une personne souveraine, un grand ami et nous avons toujours de belles conversaions pleines de joie et d'humour. Je le considère comme un frère car il fait partie de ma famille de coeur et non de sang, et j'ai pour lui un amour inconditionnel profond. Et savez-vous aussi ce qu'il me dit ? “Une chance que tu es là, il n'y a que toi et ma soeur aînée qui respectez mes choix et je vous en suis très reconnaissant”. Je n'essaie pas de vous dire cela pour me monter sur un piédestal, mais pour que vous compreniez que le meilleur gage de succès dans toute réparation de l'organisme est d'éviter l'isolement affectif. Il n'y a rien de pire que de se sentir seul face à nos choix. C'est la solitude qui tue, pas le choix. Relisez ce que dit Marc Fréchet.

Cordialement,(therapeute)

Bonjour Monsieur,

Je suis tout à fait d'accord avec vous : parlez avec **** de nos échanges. Je n'ai rien à cacher, je suis juste une soeur qui veut comprendre et qui essaie de l'aider….Comment puis-je l'aider si je ne comprends pas ????? Si dans ma démarche de vous joindre et de comprendre son choix je peux l'aider, c'est avec joie. Sachez que je le respecte et que je respecte ses choix - Là n'est pas le problème. C'est sa souffrance qui me chagrine et me déchire. J'ai compris que de l'appeler ne lui apportait aucune aide. Je ne peux que lui vouer mon amour inconditionnel et ma tendresse. Je suis loin de lui et bien impuissante face à la terrible épreuve qu'il traverse ….. Je ne peux me rendre auprès de lui et le distraire “avoir des conversations pleines de joies et d'humour” …… En plus ça serait gratuit ……. Car on ne se paie pas entre frères et soeurs ……. même de coeur. Je sais que vous avez une très grande influence sur les choix d'****. Il ne prend plus aucune décision sans vous joindre afin d'obtenir vos avis éclairés. Il n'est plus maître de ses décisions …… Comme je vous l'ai dit je respecte énormément mon frère ainsi que ses choix : alors pourquoi a-t-il besoin de vous appeler si ce sont “SES CHOIX” ??????  Quand je prend une décision (bonne ou mauvaise), c'est mon choix, et je n'ai pas besoin d'appeler une copine afin qu'elle approuve. Vous êtes d'accord ? Vous voyez ce que je veux dire ? Pourquoi avez-vous besoin d'approuver les choix d'**** ?  J'ai fait aussi des choix de vie dans mon existence qu'*** n'a pas approuvé. Je le sais, nous en avons déjà discuté. Mais ce n'est pas pour autant que nous nous sommes tournés le dos. C'est la vie, c'est comme ça. Quant à ma “colère” je pense qu'elle est saine - Si cet évènement était neutre pour moi comme vous dites : quel bonheur !!!!!! Plus de questions, plus d'émotions, plus de peine ni de chagrin, plus d'amour, plus de peurs, plus de colère ……. Que du bonnheur. Je me foutrais de tout ! Ce serait top !!!!! Mais je ne suis pas un robot…. Encore heureux . N'est-ce pas se sentir en vie que d'éprouver toutes ces émotions ? Les bonnes comme les moins bonnes ! Comment rester neutre quand les êtres qui vous sont chers hurlent de douleur ????? Ma colère n'a rien à voir avec le choix d'***. Elle est liée à notre impuissance à tous. Notre impuissance à le soulager. Notre impuissance à l'épauler et à l'aider à remonter la pente. Il faut donc attendre sagement, et le voir diminuer petit à petit sans sourcillier, sans lever le petit doigt, en se disant “Tout va bien, il guérit !” ?????  Notre mère est décédée à 51 ans ……. cancer (trop tard nous ont dit les médecins, c'est généralisé …..)Notre père est décédé à 67 ans ………. cancer (pas de chance nous ont dit les médecins, c'est une forme fulgurante qui ne touche que 10% des malades ….)Notre soeur a été soignée d'un cancer du col de l'utérus (grâce à la médecine traditionnelle).  Pourquoi refuser d'admettre que la médecine traditionnelle peut aussi guérir ? Je suis intimement convaincue que la MNG est une révolution dans le monde médical. Tous les rapports le soulignent. Mais en association avec la médecine traditionnelle je pense que vous auriez des résultats bien au-delà de vos espérances. Beaucoup de gens meurent des suites de cancers même avec un traitement chimio, mais il y en a qui guérissent aussi. Tout ça pour vous dire que même si je n'approuve pas son choix, je le respecte. C'est sa vie. Mais il ne faut pas oublier que dans “sa vie” il ne faut pas tourner le dos à tous ceux qui l'aiment et qui s'inquiètent pour lui - justement parce qu'ils l'aiment. Vous dites qu'il est tanné que tous les membres de sa famille et que ses amis l'appellent ….. N'est-ce pas une preuve d'amour tous ces gens qui s'inquiètent de son état de santé ? Pourquoi s'agacer de tous les gens qu'il aimait de tout coeur avant de tomber malade ?Pour vous rassurer, **** est loin d'être “un isolé affectif”. Il y a beaucoup de gens autour de lui qui l'aiment !!!!!!! Mais j'ai bien peur qu'il n'en ait pas conscience. On peut aimer ses proches en acceptant ou pas leurs choix.Si on devait se fâcher avec toutes les personnes qui ne font pas le choix que nous nous aurions fait, nous n'aurions pas beaucoup d'amis autour de nous ….. Ne croyez vous pas ? Lors de votre prochaine conversation avec ****, vous pouvez lui assurer que nous l'aimons de tout notre coeur. Je lui ai déjà dit, mais vous au moins, il vous écoute. Je vais maintenant me pencher sur toutes les références des recherches publiées dont vous me faites part, afin de ne pas mourir idiote.

Cordialement.(petite soeur de mon pere )

Bonjour Madame,

Permettez-moi de répliquer à certains passages de votre courriel :

‘’Je suis loin de lui et bien impuissante face à la terrible épreuve qu'il traverse …..’’**** ne le voit pas comme ça. Pour lui, ce n'est plus une terrible épreuve. Lors de notre dernière conversation la semaine passée, il m'a fait part de son grand calme intérieur, de sa grande sérénité. Il se sent bien. Vérifiez auprès de lui. Sa “terrible épreuve”, comme vous dite, lui appartient et il a le droit de décider comment il veut la traverser. Je n'ai ni le droit de décider à sa place, ni vous. Je l'avais au départ informé que la douleur serait si intense qu'il aurait le goût de mettre fin à ses jours car je le sais pour l'avoir vécu avec certains de mes clients qui ont vécu la même chose et qui s'en sont sortis. Face à cette vérité, il avait donc le choix d'atténuer sa souffrance comme il l'entendait, ce que je lui ai toujours dit. S'il décide de prendre de la morphine en fortes doses, c'est son choix et je ne vais jamais l'en empêcher. Par contre, je me dois de l'informer des vraies choses, de ce qui se passe réellement en clinique. Que la morphine stoppe toutes les fonctions vitales de l'organisme telles la digestion et la respiration. Et ça, je ne l'invente pas, c'est un fait ! Vérifié et vérifiable. J'ai étudié l'anatomie et la biologie de niveau universitaire et je sais de quoi je parle. J'ai eu une cliente récemment dans la même situation qu'**** et je lui ai donnée la même information qu'à lui. Elle a finalement décidé de prendre de la morphine et j'ai respecté son choix. Trois mois plus tard, elle était morte par arrêt de ses fonctions vitales. Voilà ce qui est déplorable dans tout ça, car la médecine conventionnelle n'a même pas l'humilité de faire savoir ce fait réel aux patients qui décident de prendre de la morphine en injections intraveineuses. Et ça c'est criminel. À qui la faute ? À la personne qui décide d'en prendre ou à la personne qui ne lui donne pas l'information juste ?

‘’En plus ça serait gratuit ……. Car on ne se paie pas entre frères et soeurs ……. même de coeur.’’ **** ne me paie pas pour les conversations que nous avons depuis deux mois et je ne veux pas qu'il me paie. Il me paie pour les conversations à caractère thérapeutique, les informations cliniques que je lui ai données durant l'automne et l'hiver. Encore une fois, vérifiez avec lui.

 ‘’Je sais que vous avez une très grande influence sur les choix d'****. Il ne prend plus aucune décision sans vous joindre afin d'obtenir vos avis éclairés.’’Je n'ai aucune influence sur ****. Toutes les informations que je lui donnent proviennent de la pharmacopée. Lorsqu'il décide de prendre un médicament chimique, il me consulte pour savoir quels en sont les effets, car il n'obtient aucune information de la part des personnes qui lui suggèrent ces médicaments. Et il est en droit de le savoir. Par exemple, il a commencé à prendre un médicament en comprimés à base de morphine en faibles doses et il m'a appelé pour me demander quels en sont les effets, ce que je lui ai dit. Je lui ai donné l'information exacte et il a décidé par lui-même d'en prendre. Je lui ai dit que c'était correct s'il le juge nécessaire. Il faut toujours fonctionner en toute honnêteté. Il y va du respect envers le client.

‘’Il n'est plus maître de ses décisions …… Comme je vous l'ai dit je respecte énormément mon frère ainsi que ses choix : alors pourquoi a-t-il besoin de vous appeler si ce sont “SES CHOIX” ?????? ‘’ **** est parfaitement maître de ses décisions car à chaque fois, il obtient une information juste et exacte pour chacun de ses choix. Une information non biaisée car elle est basée sur la science, sur les études qui ont été faites sur chaque produit. Je suis un scientifique, j'ai une maîtrise en sciences appliquées. Je sais donc ce qu'est la rigueur scientifique et je dois donner toute l'information scientifique et clinique qui soit disponible. Dans le cadre de mon travail, j'utilise les mêmes références pharmaceutiques que les médecins. Donc, toute l'information que je donne provient de ces références. Je n'invente rien. Pourquoi **** ne réussit-il pas à obtenir ces informations de la part de ses médecins ? Excusez-moi, mais ce n'est pas honnête.

 ‘’Quand je prend une décision (bonne ou mauvaise), c'est mon choix, et je n'ai pas besoin d'appeler une copine afin qu'elle approuve. Vous êtes d'accord ? Vous voyez ce que je veux dire ? Pourquoi avez-vous besoin d'approuver les choix d'**** ? ‘’Je n'approuve ni ne désapprouve les choix d'****. Vous avez parfaitement raison dans ce que vous dites. Par contre, si on vous donne une prescription pour un médicament, n'êtes-vous pas en droit de savoir ce que ce médicament fait dans votre organisme ? **** lui, veut savoir, et c'est pour cela qu'il me consulte. Lorsqu'il a décidé de prendre des anti-douleurs, il m'a consulté pour connaître leurs effets. Je lui ai dit, en toute franchise, que c'était dommageable pour le foie. Cette information, je l'ai prise dans la recherche scientifique. Je ne l'ai pas inventée. Est-ce que je l'ai empêché d'en prendre ? Absolument pas ! J'ai accepté son choix et je lui ai prescrit en même temps du chardon-marie (car je suis herboriste), une plante merveilleuse qui aide à protéger le foie contre les effets des médicaments chimiques. Vous voyez, il faut travailler intelligemment, en toute connaissance de cause !

‘’J'ai fait aussi des choix de vie dans mon existence qu'**** n'a pas approuvé. Je le sais, nous en avons déjà discuté. Mais ce n'est pas pour autant que nous nous sommes tournés le dos. C'est la vie, c'est comme ça.’’ Encore une fois, je n'approuve pas ni ne désapprouve les choix d'***. Vérifiez avec lui ! Il me consulte pour avoir l'information juste. Et il me dit lui-même “Ne me cache rien”, je veux tout savoir à propos de cette substance. C'est ce que je fais. **** est un adulte souverain, maître de ses décisions. Je ne peux vous dire le nombre de fois où je lui ai mentionné “Si tu veux aller à l'hôpital, vas-y, fais toujours selon l'appel de ton coeur, selon ton niveau de confort à toi”. Je n'ai pas le droit de refuser qu'un client suive un traitement quel qu'il soit. Que ce soit de la radiothérapie, de la chimiothérapie ou de la chirurgie ! Ce serait un manque d'éthique professionnelle grave. Dans ma pratique j'ai toujours fonctionné comme ça. Par contre, c'est mon devoir de l'informer des conséquences de ces traitements, conséquences basées sur l'information scientifique et clinique disponible. Sur les statistiques disponibles. Encore une fois, lorsque j'ai étudié les stastiques dans le cadre de ma maîtrise en sciences appliquées, la première chose que notre professeur nous a dite avant même de se présenter, c'est “Il y a des mensonges, des mensonges ignobles et des statistiques”. Laissez-moi vous citer un exemple concret concernant la chimiothérapie. Lorsqu'on parle de ses soi-disant succès, on ne compile que les survivants ayant passé au travers tout leur protocole et non ceux qui en sont morts.Ce sont donc des statistiques tronquées et trompeuses. Et ça, je ne l'invente pas. Les chiffres sont là ! Vérifiez ! Si on néglige les morts, ça permet de gonfler les succès. C'est de la fausse représentation.


‘’Quant à ma “colère” je pense qu'elle est saine - Si cet évènement était neutre pour moi comme vous dites : quel bonheur !!!!!! Plus de questions, plus d'émotions, plus de peine ni de chagrin, plus d'amour, plus de peurs, plus de colère ……. Que du bonnheur. Je me foutrais de tout ! Ce serait top !!!!! Mais je ne suis pas un robot…. Encore heureux . ‘’   Ce n'est pas une question de robotique. C'est une question de conscience. Conscience de qui nous sommes. Moi aussi je suis parfois en colère, j'ai de la peine, je pleure parfois. Je suis loin d'ête un robot. Mais je dois toujours aller voir en dedans de moi pour savoir d'où viennent ces émotions, car le monde extérieur n'a rien à voir. Toutes mes émotions proviennent de besoins que j'ai qui n'ont pas été rencontrés. Besoin de reconnaissance, besoin d'être aimé, d'être accepté, peur de perdre le contrôle sur une situation, etc. Si je suis en colère, c'est contre moi que je le suis.    Je me permets de citer un merveilleux texte que mon épouse a écrit car il est tellement révélateur : “L'idée est de prendre conscience du déphasage au moment où il survient pour se ramener volontairement au centre, dans l'ici, maintenant, car le déséquilibre prend son origine dans une pensée orientée vers un temps révolu ou est un passage, une entrée, dans une réaction “programmée” (comme la peur de l'inconnu, donc un déséquilibre face à un être ou une situation faisant perdre les repères habituels et réactivant des émotions vécues dans des contextes similaires). L'équilibre et le déséquilibre constituent tous deux un état (soi) en relation avec l'extérieur, donc une réaction sereine ou inquiète par le choix de la conscience dans les multiples possibilités des deux polarités, positive et négative, formant le tout. La position privilégiée est donc le centre qui donne une vision égale et détachée soit une vision équilibrée.”     Le robot ne fait pas de choix. Il agit sans discernement. Il ne se soucie pas de sa vie, ni de celle des autres. La différence entre le robot et nous, c'est le manque de discernement. Lorsqu'on est bien informé sur toute chose, cela nous permet de faire preuve de discernement dans nos choix. Pour faire un choix éclairé, et vous l'avez sans doute vécu vous-même, il faut s'informer sur les conséquences de nos choix. Il faut en être conscient. Le robot ne sait pas faire des choix. Si sa maison brûle, il ne lui viendra pas à l'idée de fuir. Il restera là car il ne sait pas quelle est la conséquence d'un incendie. L'humain, quant à lui, a toujours le choix entre rester et fuir. C'est sa conscience qui lui permet de choisir. Eh bien pour ****, c'est la même chose. C'est l'information juste qui lui est donnée qui lui permet de choisir. Sans influence extérieure, sans “programmation”. Programmer quelqu'un c'est vouloir avoir le plein pouvoir sur lui. Dans ma pratique, le plein pouvoir appartient au client. Vous trouvez cela normal vous qu'en médecine conventionnelle on dise au patient “Si vous refusez la chimiothérapie alors nous ne voulons plus vous voir ?” À qui le pouvoir dans ce cas-ci ? Et croyez-moi, je l'ai entendu cette histoire-là à maintes reprises de la part de nombreux clients. Le rejet total parce qu'ils refusaient de suivre les traitements conventionnels. Où est la liberté de choix dans tout cela ?

‘’Ma colère n'a rien à voir avec le choix d'****. Elle est liée à notre impuissance à tous. Notre impuissance à le soulager. Notre impuissance à l'épauler et à l'aider à remonter la pente. Il faut donc attendre sagement, et le voir diminuer petit à petit sans sourcillier, sans lever le petit doigt, en se disant “Tout va bien, il guérit !” ?’’ Il n'y a personne sur cette planète qui puisse soulager ****. Même pas moi. Son soulagement ne viendra que de lui. De lui seul. Il est intérieur. Toujours. L'animal dans la nature qui souffre se retrouve seul. Il s'isole. Car il sait que lui seul peut alléger et guérir sa souffrance. Mon job est de le distraire pendant que la nature fait son travail. Et c'est en dents de scie, que voulez-vous ? Il y aura certes des bas et des hauts, et ça, il le sait. Notre souffrance s'exprime éventuellement dans botre biologie. C'est le cri de l'âme qui nous appelle à faire des changements dans notre vie. Je me permets de vous citer le site suivant qui contient un document fort intéressant à propos du cancer : http://www.labo-fractal.com/livre_fractal.pdf  Vous constaterez qu'il est écrit en première page en caractères gras : “On ne peut guérir définitivement d'une grave maladie sans effectuer des changements profonds au fond de soi-même.” Voilà l'essentiel. Ceux qui s'en sont sortis on procédé exactement de cette façon. Marc Fréchet a constaté la même chose chez les patients qui avaient décidé de ne pas suivre de traitements conventionnels et qui avaient un taux de survie de 85% suite à des changements majeurs dans leur vie. Et je n'ai pas inventé cela. Les faits sont là ! On peut suivre tous les traitements disponibles si on veut, mais on passe souvent à côté de l'essentiel. On s'imagine que c'est l'extérieur qui peut nous guérir, alors que tout vient de l'intérieur.


‘’Notre soeur a été soignée d'un cancer du col de l'utérus (grâce à la médecine traditionnelle).’’Tant mieux ! Elle a fait ce choix et il faut le respecter. Quant à moi, je connais quatre femmes qui se sont guéries de leur cancer du col de l'utérus sans l'aide de qui que ce soit. Elles avaient choisi de ne subir aucun traitement.

‘’Pourquoi refuser d'admettre que la médecine traditionnelle peut aussi guérir ? ‘’Ne me faites pas dire des choses que je n'ai jamais dit. Vous me prêtez des énoncés qui ne m'appartiennent pas. Je n'ai fait que citer des réalités observables. Vous interprétez les faits à votre façon. Ce n'est ni la médecine conventionnelle ni la Médecine nouvelle germanique, ni aucune autre thérapie qui guérit qui que ce soit. Seule la personne elle-même se guérit. Et ça je suis parfaitement clair là-dessus dans mes conférences. “Si vous pensez que la Médecine nouvelle germanique peut sauver votre vie, détrompez-vous. La Médecine nouvelle germanique permet de comprendre quels sont les processus biologiques impliqués lors du développement d'une maladie. Vous seuls pouvez sauver votre vie. La façon dont vous le faites, ça vous regarde. Je ne suis ici pour convaincre personne.” Mais je vais leur citer les faits, la réalité des choses. Pas des contes de fée, pas du rose bonbon, pas de la dentelle. Quand je dis que suite à une grève de médecins, les taux de mortalité ont chûté, ce sont des faits publiés et vérifiables ! Quand je dis que le Dr Hamer avait un taux de succès de 92% avec les cancers avancés, ce sont des faits publiés et vérifiables ! Ces faits sont inscrits aux archives légales à la cour de Sigmaringen en Allemagne. Je suis conscient que tout cela peut choquer plusieurs personnes. Mais je ne suis pas là pour plaire à qui que ce soit. Je dis la vérité. Point. Je ne peux pas admettre que la médecine conventionnelle ait un taux de succès élevé face au cancer quand elle ne les a pas. Il faut rendre à César ce qui appartient à César.

‘’Tout ça pour vous dire que même si je n'approuve pas son choix, je le respecte. C'est sa vie. Mais il ne faut pas oublier que dans “sa vie” il ne faut pas tourner le dos à tous ceux qui l'aiment et qui s'inquiètent pour lui - justement parce qu'ils l'aiment. ‘’ Vous dites qu'il est tanné que tous les membres de sa famille et que ses amis l'appellent ….. N'est-ce pas une preuve d'amour tous ces gens qui s'inquiètent de son état de santé ? Pourquoi s'agacer de tous les gens qu'il aimait de tout coeur avant de tomber malade ? ‘’Vérifiez avec ****, pas avec moi ! C'est son ressenti à lui, pas le mien. Si vous vous aimez tous, tant mieux ! Je n'ai rien à voir là-dedans. Moi aussi j'aime tous les membres de ma famille profondément. Mais ceux-ci m'ont rejeté face aux choix de vie que j'ai fait. Mon père ne me parle plus, mon frère ne me parle plus. Le mari de ma soeur lui a dit que j'étais fou et qu'il fallait que je me fasse soigner. Eh bien ce rejet leur appartient. Mais ça ne change rien à l'amour que j'ai pour eux car il est inconditionnel. Je vous le répète, je fais mes choix non pas pour plaire à qui que ce soit mais parce que je m'aime. À ceux qui me rejettent, je dis “Vérifiez en dedans de vous mçeme d”où vient se rejet”. Quand je fais des choix personnels par amour pour moi, ça demande parfois que les autres autour déplacent leur pion sur l'échiquier ce qu'ils n'aiment pas faire. Eh bien ça c'est leur problème, pas le mien. J'ai constaté que si je fais des choses pour plaire aux autres, je me ments souvent à moi-même. Et je ne peux pas faire cela. Sinon, si je le fais, je m'impose la volonté des autres et je ne suis plus moi-même. Et que vont-ils constater alors ? Que vont-ils observer ? Ils vont dire “François n'est plus lui-même.” Mais est-ce que je ne suis plus moi-même parce que j'ai pris mes décisions à moi ou bien parce que j'ai pris des décisions contraires à la volonté des autres ? Ils vont tout simplement observer que je ne suis plus moi-même parce que j'ai pris des décisions contraires à leur propre système de valeurs.

‘’Pour vous rassurer, **** est loin d'être “un isolé affectif”. Il y a beaucoup de gens autour de lui qui l'aiment !!!!!!! Mais j'ai bien peur qu'il n'en ait pas conscience. On peut aimer ses proches en acceptant ou pas leurs choix. ‘’Je n'ai jamais dit qu'**** était un isolé affectif. C'est vous qui le dites. Encore une fois, vous faites des conclusions hâtives et vous me faites dire des choses que je n'ai pas dites ! Si vous lisez bien mon courriel précédent, j'ai cité les résultats de la recherche de Marc Fréchet sur les cancéreux. Malheureusement pour vous, c'est ce qu'on observe.

‘’Si on devait se fâcher avec toutes les personnes qui ne font pas le choix que nous nous aurions fait, nous n'aurions pas beaucoup d'amis autour de nous ….. Ne croyez vous pas ? ‘’Qui a parlé de se fâcher ? J'ai parlé de respect. Si on se fâche, il faut aller voir en dedans de nous-même pourquoi on réagit ainsi. Serait-ce parce que les décisio

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------
[*/QUOTE*]

information scientifique et clinique disponible. Sur les statistiques disponibles. Encore une fois, lorsque j
« Last Edit: September 27, 2014, 02:30:38 PM by ama »
Logged
Kinderklinik Gelsenkirchen verstößt gegen die Leitlinien

Der Skandal in Gelsenkirchen
Hamer-Anhänger in der Kinderklinik
http://www.klinikskandal.com

http://www.reimbibel.de/GBV-Kinderklinik-Gelsenkirchen.htm
http://www.kinderklinik-gelsenkirchen-kritik.de

ama

  • Jr. Member
  • *
  • Posts: 1201
Re: la dangereuse medecine nouvelle germanique
« Reply #1 on: September 27, 2014, 02:30:07 PM »

push date
Logged
Kinderklinik Gelsenkirchen verstößt gegen die Leitlinien

Der Skandal in Gelsenkirchen
Hamer-Anhänger in der Kinderklinik
http://www.klinikskandal.com

http://www.reimbibel.de/GBV-Kinderklinik-Gelsenkirchen.htm
http://www.kinderklinik-gelsenkirchen-kritik.de
Pages: [1]